Ma prise wattmètre à 20 € m'a révélé un secret gênant : 127 watts consommés en continu, appareils éteints. À la fin de l'année, cela dépasse 250 €. Voici les sept coupables qui reviennent le plus souvent chez moi et chez mes proches.
En veille, l'ensemble avale 20 à 30 W. Une multiprise parasurtenseur avec interrupteur me permet de tout couper d'un geste. Gain : environ 50 à 60 € par an.
Le mode repos garde les téléchargements actifs mais coûte cher : 10 à 15 W. Je passe en arrêt complet quand je n'y joue pas. Une minute au démarrage, des euros gagnés à l'arrivée.
Un seul ne pèse pas lourd, mais dix chargeurs branchés en permanence montent vite à 10–20 W. Je regroupe sur une multiprise à interrupteur pour couper d'un coup.
Écran, imprimante, enceintes : 15 à 25 W en veille. Un programmateur coupe la nuit et les week-ends. Payé en quelques mois.
Les horloges et voyants consomment en continu. Je coupe le coin « petits appareils » avant d'aller me coucher. Pas de risque, juste des économies.
J'en laisse un allumé 24/7, mais j'éteins les boîtiers non essentiels la nuit. Pour les mises à jour, je programme un créneau hebdo.
Certains modèles tirent 5 à 10 W sans qu'on s'en rende compte. Je les branche sur la multiprise TV pour tout couper en même temps.
Conclusion : Le courant fantôme ne se voit pas, mais la facture, oui. Un wattmètre, deux multiprises et quelques minuteries suffisent pour récupérer 100 à 200 € par an sans changer de mode de vie.
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Alexandre Dubois est passionné par un mode de vie éco-responsable et pratique. Basé en France, il partage des habitudes testées qui réduisent les coûts et l'impact environnemental sans compliquer le quotidien. Contact : info@greendailyfix.com
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